Résumé : Vanessa est une jeune fille qui n’ose pas sauter le pas afin de faire plaisir à son amoureux.
Vanessa est une jeune fille d’environ dix huit ans qui a un petit ami, dont elle est follement amoureuse, mais avec qui, elle n’ose pas faire le premier pas. Malgré les multiples avances de celui-ci, elle lui a toujours répondu par la négative, invoquant qu’elle n’est pas encore prête.
Mais cela, la travaille beaucoup quand même. Et, pas plus tard qu’hier soir, elle se retrouve chez Virginia, une jeune femme de vingt cinq ans et, fille de la meilleure amie de sa maman.
Au cours de leur discussion, Vanessa raconte à Virginia sa petite histoire. Celle ci l’écoute avec attention et, lui dit.
-
Mais ma chérie, tu sais, je connais quelqu’un qui pourrait t’aider à sauter le pas.
Très intéressée Vanessa lui répond.
-
Tu crois ? Mais, tu sais que je suis amoureuse de mon chéri. Je voudrai pas que ça cause un problème entre nous… ! Et puis, tu sais. Je suis encore vierge, alors… !
-
Mais, est ce que ton chéri sais que tu es encore vierge ?
-
Non. Je ne lui en ai jamais parlé. Et puis, il ne m’a pas encore touché… !
-
Et alors. Où est le problème ?
-
Oui, tu as, peu être, raison ? Vu comme ça… C’est vrai qu’il n’y en a pas.
-
Alors ma chérie, ce gars que je connais s’appelle Vincent. C’est un ami de ma mère. Il est libertin, comme ma mère et, ils se sont connus dans une discothèque échangiste il y a déjà au moins dix ans. Tu sais, il a une soixantaine d’années et en plus, il est très sympa ma chérie. Je peux te dire qu’il baise comme un Dieu. D’ailleurs, c’est lui qui m’a déviergée. J’en garde un souvenir que tu ne peux pas imaginer.
-
Mais Virginia, tu y penses pas… J’ai dix huit ans !
-
Mais, il est où le problème. Baiser avec un jeune ou un vieux, il y pas de différence… ! Et je vais même te dire, un mec de soixante ans a beaucoup plus d’expérience qu’un jeune de vingt ans. Tu verras, ma belle, après tu ne diras plus ça… !
-
Oui d’accord. Je vais y réfléchir et, je te rappelle, d’accord ?
-
Ok ma chérie. A bientôt.
Après une bonne heure de papotage, les deux amies se séparent. Vanessa rentre chez elle, encore plus troublée qu’avant leur discussion.
Elle pense à cette proposition que lui a fait, son amie Virginia, et chaque soir dans son lit de jeune pucelle, ça la travaille tellement, qu’elle ne peut s’empêcher de masturber sa petite fente rose, en pensant à cette aventure qu’elle a envie de vivre, mais qui lui fait, aussi, tellement peur.
Une semaine passe, puis deux et, après avoir passé un beau dimanche après midi avec son chéri en rentrant chez elle, elle prend son téléphone et finit par appeler son amie Virginia.
-
allô Virginia.
-
Oui, Vanessa, qu’est ce qu’il y a ?
-
Tu sais, j’ai bien réfléchi à ta proposition…
-
Et alors ?
-
Je suis d’accord. À présent, je crois que je me sent prête à faire le saut
-
C’est bien ma chérie ! C’est une bonne décision. Tu verras que tu ne seras pas déçu. Vincent est un mec formidable.
-
Merci Virginia.
-
T’as pas à me dire merci. C’est à Vincent que tu diras merci. Ne t’inquiètes pas… Ça se passera bien. Comme je te l’ai dit, il est super doux. c(est un vrai papy gentil. Tu veux que je t’arrange un rendez vous pour quand ?
-
Quand tu veux, mais pas un week-end. Le week-end c’est réservé à mon copain.
-
Oui, je comprends. Si tu veux, dans la semaine, un mercredi vers vingt heures. Ça t’irait… ?
-
Oui, pourquoi pas. Ça tombe plutôt bien, je n’ai pas cours le jeudi matin. Comme ça, on pourra prendre tout le temps qu’il faudra. Car j’en encore un peu peur de ça ! J’ai peur d’avoir mal !
-
Bon écoute. Je contacte Vincent et je te tiens au courant. Mais ne te fais pas une histoire de tout ça. Ça ira bien, tu verras ! C’est vrai que ça fait un peu mal à la première pénétration. Mais après, tu verras que que tu aimeras. C’est vachement bon de sentir une grosse queue qui va et qui vient dans ta chatte… !
-
Peut être bien. Mais en attendant, il faut que j’accepte, comme tu dis, cette grosse queue dans ma petite foufoune ? C’est pas gagné. Mais merci Vivi. Tu es une vrai sœur… A bientôt, bisous.
-
Ok, bisous !
Une semaine plus tard, le téléphone de Vanessa sonne.
-
Allô.
-
Coucou, c’est Virginia.
Vanessa toute excitée… !
-
Et alors ?
-
Et alors c’est bon. J’ai eu Vincent et, il m’a dit que c’était bon.
-
Et c’est pour quand ?
-
Si tu es d’accord, la semaine prochaine.
-
Mercredi prochain ?
-
Oui ma chérie, mercredi prochain. Je te prends en passant vers vingt heure quinze et, on ira chez Vincent passer une bonne soirée de baise. En tout cas, moi, ça va me faire du bien… !
-
Merci Virginia.
-
A plus, bisous.
-
D’accord, à mercredi.
Les jours passent, et la demoiselle est de plus en plus excitée à l’approche de ce jour fatidique. Et en fin d’après midi de lundi ; le téléphone sonne.
-
Allô !
-
Coucou Vanessa, j’ai une idée pour que cette soirée soit un peu particulière et reste gravée dans ta mémoire.
-
Oui… raconte !
-
Nous allons nous habiller, toutes les deux, de la même façon et pour pimenter le tout, nous porterons toutes les deux un loup identique.
-
Et pourquoi ?
-
Pour que Vincent ne sache pas tout de suite qui est qui, et qu’il soit obligé de deviner qui est Vanessa et qui est Virginia.
-
Ah, c’est super ton idée. Mais toi, il te connais déjà.
-
D’accord. Mais je sais pas si tu as vu que nous nous ressemblons beaucoup physiquement. Nous avons, toi et moi, les cheveux châtains et longs. Tu es aussi grande que moi et, tu as une paires de seins un peu comme les miens. On peut presque passer pour des sœurs jumelles… !
-
Tu as raison Virginia. Alors on se déguise comment ?
-
Est ce que tu as dans ton armoire une jupette noire à volants et un débardeur rose ?
-
Oui, j’ai ça.
-
Alors c’est bon. On a plus qu’à trouver deux loups. Si tu veux, je les achète demain ?
-
Oui d’accord. Alors, je t’attends mercredi vers vingt heure chez moi.
-
D’accord ma chérie. A mercredi.
La journée de mardi se passe plus ou moins bien pour la jeune fille. Elle ne pense plus qu’à ce moment où elle va donner sa virginité à un inconnu. Puis, après une nuit bien agitée, la journée de mercredi lui semble interminable. Et même, au lycée, ses meilleures copines se demandent se qui lui arrive. Elle ne s’est jamais comportée comme ça en cours. Elle est absente, totalement emportée dans ses pensées.
A dix sept heure. A peine la sonnerie retenti, elle s’échappe de sa classe, et rentre chez elle pour se préparer.
Elle se jette sous la douche et, n’oublie pas un seul centimètre carré de son corps. Il faut qu’elle soit irréprochable. Puis, elle passe à la séance coiffure et maquillage. Même son miroir ne la reconnaît pas, tellement elle s’est faite belle. Une vraie starlette de cinéma… puis, elle vient à sa chambre, prends sa mini jupette, son débardeur, un mini string noir et s’habille. Pour faire un peu plus femme, elle emprunte, à sa mère, une paire de chaussure à hauts talons.
il est bientôt vingt heure et, voilà notre jeune pucelle fin prête. Une petite demie heure plus tard, la sonnette retentit à la porte. Vanessa se lève du canapé, où elle regardait, avec sa mère, la télé, et vient jusqu’à la porte.
-
Bonjour Vivi…
-
Bonsoir Vanessa… wahoo que tu es belle, ma chérie. Tu es prête ?
-
Oui. On y va ?
-
Oui si tu veux.
A ce moment là la mère de Vanessa intervient.
-
Vous allez où comme ça ?
-
Maman, nous allons voir un film avec Vivi.
-
D’accord. Mais essaye de pas rentrer trop tard. !
-
Oui maman. T’inquiètes. A plus tard.
Quelques minutes plus tard, au pied de l’immeuble, elle se regardent et partent à rire.
-
Pourquoi tu as dit à ta mère que nous allons au cinéma ?
-
Je ne pouvais pas lui dire que nous allons chez un pote à elle pour me faire dévierger… !
-
Oui, je comprends. C’est mieux comme ça. Tu as raison. Mais, si nous rentrons un peu tard, elle ne risque pas de grogner ?
-
Non, je crois pas. Ça m’arrive de sortir avec mon copain et, de rentrer tard.
-
Bon, vu comme ça. On va pouvoir s’amuser un peu avec Vincent. Tu sais, moi, il me fait grimper aux rideaux à chaque fois. Et puis, ça fait pas mal de temps que je n’ai pas de copain ? Alors, pas de pénis à me mettre dans ma moule. Là, j’en ai trop envie !
-
Pourquoi. Qu’est ce qu’il a de si particulier ?
-
Rien de spécial… Je te dis rien. Tu vas le découvrir par toi même… !
-
Ok. Puisque tu veux pas me le dire… !
-
Ne te fâche pas, ma chérie !
-
Mais je suis pas fâchée… ! J’aurai bien aimé savoir !
Alors, Virginia prend la main de Vanessa et, elles viennent vers le parking, où est garée sa voiture. Une vingtaine de minutes plus tard, elles arrivent au pied de l’immeuble de Vincent. Virginia gare son véhicule. Et après avoir fermé les portières à clefs, elles entrent dans l’immeuble, prennent l’ascenseur qui ne va pas les emmener au septième ciel, mais au quatrième étage.
Arrivées sur le palier, Virginia et Vanessa se parent chacune de leur loup, puis Virginia sonne à la porte. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvre et, Monsieur Vincent apparaît dans l’ouverture.
-
Bonsoir les jumelles. Entrez donc mesdemoiselles… Mais qui est Virginia et qui est Vanessa ?
Virginia.
-
Bonsoir Vincent. Comme vas tu. J’espère que tu es en forme ?
Vincent.
-
Oui ma belle. Comme d’habitude… !
Virginia.
-
Je te présente Vanessa. Ma copine, qui a besoin de tes petits services.
Vincent.
-
Il n’y a pas de soucis. Tu me connais bien. Tu sais, en plus, que ce genre de service me rend encore plus performant… !
Tout en parlant, il les entraîne au salon où une musique de circonstance sort des enceintes. La lumière, elle aussi, est en rapport avec le thème de la soirée. A vrai dire, une ambiance feutrée est de mise.
Il les invite à s’asseoir sur le canapé et leurs propose un petit verre.
Vincent.
-
Je vous ai préparé un petit cocktail. Ça devrait faire pour ce soir.
Virginia.
-
Merci Vincent. C’est sympa.
Vanessa.
-
Merci bien Monsieur. Mais je ne bois pas d’alcool.
Vincent.
-
Il n’est pas très fort. Tu peux le goûter. Mais si tu ne peux pas le boire, je te servirai un jus de fruit.
Vanessa.
-
Non, c’est pas la peine Monsieur. Je vais goûter, et je vous le dirai.
Vincent.
-
Laisse tomber le Monsieur. Je m’appelle Vincent et, tu peux me tutoyer.
Vanessa.
-
D’accord Vincent.
Virginia.
-
Tu sais, c’est une jeune fille avec une bonne éducation. Alors, elle a quelques retenues… !
Vincent.
-
Bon, je t’en tiendrai pas rigueur Vanessa.
Après cet échange, les trois futurs complices prennent leur verre et commencent à le boire.
Vincent.
-
Alors Vanessa, tu le trouves comment ce cocktail ?
Vanessa.
-
Il est bon, et pas très fort. Ça va comme ça.
Quelques minutes plus tard, leurs verres achevés, Virginia demande à son ami Vincent.
-
Bon, c’est bien de boire un coup et discuter. Mais on est pas venu seulement pour ça. Tu sais que tu dois t’occuper de la virginité de Vanessa et, par la même occasion, tu pourras me faire un petit ramonage. Ça fit un moment que je suis sans copain.
Rires… et.
Vincent.
-
Ma chérie, je vais aussi te faire plaisir. Mais avant tout, je vais entreprendre ta petite copine. Il faut bien la préparer, tu crois pas… ?
Virginia.
-
Oui, tu as raison Monsieur le professeur. C’est toi le maître de soirée !
Sur ces dernières paroles, Vincent s’approche de Vanessa, s’assoit tout près d’elle sur le canapé, lui glisse quelques petits mots doux à l’oreille et, commence à lui donner de petits baisers, pour la même en confiance, tout en lui pelotant ses deux jolis monts, encore un peu masqués par le débardeur à large échancrure. Très vite, les bretelles du débardeur se retrouvent au dessous de ses épaules, découvrant ainsi les magnifiques seins de la demoiselle. Plutôt attrayant, et agréables à regarder. Mais sous les caresses de l’expert, ses mamelons se redressent, instantanément, comme deux missiles dirigés vers le ciel.
De son côté, Virginia, commence à trouver le temps un peu trop long. Et à entendre Vanessa soupirer, commence à lui donne bien des envies. Alors, elle rejoint le duo, et aussitôt assise à côté de Vincent, lui dégrafe son pantalon et lui fait glisser sur ses cuisses. En bon queutard qu’il est, il ne porte pas de caleçon. Donc, elle se trouve, tout de suite en présence de son sexe à demi bandé. Elle le saisit dans la main et commence à le masturber.
Pendant le temps que Virginia, masturbe cette verge qui devient rapidement un énorme phallus, Vincent a ôté le mini string de Vanessa pour, caresser cette petite vulve vierge revêtue d’une minuscule touffe de poils de couleur châtain, rasés de frais. Elle n’est pas très rassurée en voyant la dimension du sexe de Vincent. En elle même, elle se dit qu’avec un engin pareil, il va lui déchirer sa petite moule. Il faut dire que le Monsieur est très bien équipé. Tout de même, elle se laisse caresser. Il faut dire de le professeur est très câlin. Il pratique avec beaucoup de bienveillance. Ces tendres caresses la font, rapidement, basculer dans la jouissance, et l’emmène dans les nuages. Elle soupire de plus en plus tout en se mordillant les lèvres.
A ce moment là, Virginia piaffe d’impatience. Elle meurt d’envie de passer à autre chose. Donc, elle ôte totalement le pantalon de Vincent, empoigne à nouveau sa verge et l’engloutit dans sa bouche pour lui faire une très longue fellation, tout en se masturbant sa moule comme une dingue. Ce qui a pour but de la faire jouir, tout comme sa copine, soumise aux caresses du maître. Quand à Vincent lui, il est aux anges. Deux filles pour lui tout seul, quelle aubaine… Mais avec une nana comme Virginia, experte en fellation et, aussi, en bien d’ autres choses, il finit par ressentir une grosse envie d’éjaculer. Mais là, il ne dis rien, pour n’alerter personnes. Et, une minutes plus tard… dans un grognement presque animal, Virginia se prend une belle giclée de sperme dans la bouche et à travers la face. Aussitôt, elle s’empresse d’avaler ce liquide chaud qui vient de lui envahir la bouche et, de lécher sa verge, puis, de récupérer le reste de sperme qu’elle a encore sur le visage.
Voilà une belle entrée en matière. Pour Virginia et Vincent, ce n’est que de la routine. Mais pour Vanessa, c’est une grande surprise. Elle n’a jamais connu de situation telle. Certes, elle s’est régalée avec les premières caresses de Monsieur le professeur. Mais ce qui lui fait souci, c’est la taille du sexe de celui-ci. Car, elle redoute le moment de la pénétration. Elle se pose, presque, la question de savoir si elle a bien ou mal fait de demander à son amie Virginia de prendre un rendez vous avec ce Monsieur. Ce qui est sûr, c’est qu’elle ne pouvait pas savoir qu’il était monté comme un cheval. Puis.
Virginia.
-
Alors ma chérie, comment tu trouves ça ?
Vanessa.
-
C’est bon, tu sais… Les caresses de Vincent sont douces et m’ont fait chavirer. Mais, j’ai peur pour la suite ! Et toi ?
Vincent.
-
Pourquoi ?
Vanessa.
-
J’ai vu la taille de ton sexe, tout à l’heure, et ça m’angoisse un peu!
Virginia.
-
Non il faut pas avoir peur. Tu verras, ça va bien se passer. Vincent est un expert en dépucelage. Il ne te fera pas mal.
Vanessa.
-
Peut être… Mais, je n’ai jamais vu de sexe aussi gros !
Vincent.
-
Ne t’en fais pas, ma chérie. Je ne vais pas te déchirer ta petite fente. Mais au fait, fais moi la voir un peu ta mounette ?
Vanessa s’assoit au fond du canapé, écarte un peu ses jolies jambes et dit à Vincent.
-
Comment tu la trouves ?
Vincent.
-
Comme ça, je ne vois pas grand chose… ramène tes jambes vers toi et écarte un peu plus tes jambes.
Elle s’exécute immédiatement. Et là, Vincent vient se mettre à genoux devant elle, approche sa main droite, la pose sur sa vulve et, avec le pouce et l’index écarte le plus possible ces grandes lèvres. Puis.
-
Oh quelle beauté. Une petite chatte toute neuve… Regarde Virginia. Elle n’a jamais servi, c’est sûr. Elle a deux jolis petits trous. J’ai bien envie de lui brouter longuement avant de la pénétrer.
Virginia.
-
Vincent, tu es un gros veinard. Tu vas te faire plaisir là… ?
Vincent.
-
Bien sûr. Mais là, n’est pas la question. Je vais essayer de l’honorer comme il se doit.
Virginia.
-
Je te fais confiance… Mais, tu n’oublieras pas aussi la mienne… Elle a faim de ta queue !
Vincent.
-
D’accord. Mais je m’occupe d’abord de ta petite copine.
Et pendant tout ce temps, Vanessa, assise sur le canapé, les jambes écartées avec, les doigts de Vincent sur le bord de sa petite moule n’a pas dit une seule parole. Elle sent ces doigts qui lui parcourent le bord de ses lèvres. Ça lui donne envie, et en même temps, elle a toujours aussi peur..
Même s’il a retiré ses doigts de la petite moule, il ne relâche pas son emprise. A présent, il approche son visage tout près et commence à la lécher méthodiquement ses petites lèvres et son clitoris, ce qui lui donne quelques chaleurs. Sous les coups de langues de Monsieur Vincent, Vanessa se remet, très vite à soupirer, puis à gémir copieusement.
Pour activer un peu plus les choses, Virginia, se place derrière Vincent pour lui caresser les bourses et sa verge, qui en a bien besoin. Ce qui fait, qu’en moins de temps qu’il ne faut, le petit chose redevient l’énorme phallus qui, avait tant fait peur à Vanessa, tout à l’heure. Mais cette fois, elle ne peut pas le voir. Après cette bonne séance de léchouilles de moule, la jeune fille a quitté la terre pour un nouveau tour dans les nuages. A présent, elle jouit copieusement. En gros, elle est prête pour son dépucelage.
L’heure étant venue, Vincent se redresse et rapproche Vanessa du bord du canapé. Il s’assure qu’elle garde bien ses jambes largement ouvertes. Il prend en main son engin et, vient le présenter à cette jeune moule vierge. Il lui caresse longuement, avec le gland de son phallus, sa vulve, le capuchon de son clitoris, puis le fait coulisser entre ses grandes lèvres, jusqu’à ce qu’il atteigne tout naturellement et en douceur ses petites lèvres et enfin, l’hymen de la belle demoiselle. Et là Vanessa a un mouvement de retrait. Puis.
-
Aie tu me fais mal… !
Vincent.
-
Mais ma chérie, je ne t’ai pas encore touché ! Bon, je m’arrête, et on recommence un peu plus tard !
Vanessa.
-
Oui Vincent, on attend un peu !
Virginia.
-
Ma chérie, n’ait pas peur comme ça. Tu vas voir, comme c’est bon après !
Ils la laissent un peu reprendre confiance en elle. Mais pour que le sexe de Vincent ne dégonfle pas, Virginia se met en position de levrette et l’invite à la pénétrer. Aussitôt connectés, les va et vient s’enchaînent et s’accélèrent au point que la belle Virginia se transforme en chanteuse. Comme beaucoup de partenaires, les paroles de la chanson sont toujours identiques… a ah, euh, oh, heum et vas y ! se succèdent et conduisent, une nouvelle fois, la jeune femme dans une profonde satisfaction.
Après un long moment, Vincent retire son engin de la chatte de sa partenaire et revient très vite vers Vanessa. Il lui demande de s’allonger le plus confortablement sur le canapé, la tête sur un coussin et les jambes très largement ouvertes. Il vient se placer face à elle et, recommence à lui dévorer sa petite moule de vierge, puis lui présente à nouveau son pénis, toujours en érection, à l’entrée. Il commence, comme tout à l’heure, par lui masser sa vulve et plus particulièrement son clitoris. Ce qui fait, que la belle demoiselle s’envole, petit à petit, dans les nuages de la jouissance.
A présent, la belle Vanessa, soupire fortement tout en se mordillant les lèvres. Là, en queutard avisé, Vincent s’aperçoit que cette belle vierge est prête à accepter la pénétration. Alors, il présente son énorme pénis face à la vulve étroite de la belle. Et là… ! Une généreuse poussée et un cri !
-
Aie !
Vincent.
-
Voilà ma chérie, c’est fait… !
Vanessa.
-
Oh, j’ai mal… !
Virginia.
-
C’est rien ma chérie ! Dans deux minutes, ça va passer.
Sur les mots de réconforts de son amie, la belle Vanessa commence à comprendre que le meilleur reste, certainement, à venir. Vincent retire son phallus ensanglanté de la petite chatte de sa partenaire, demande à Virginia de lui donner un mouchoir papier pour lui nettoyer ces traces de sang et, par la même occasion, nettoyer son pénis. Puis, vient vers Virginia, qui s’était pendant se temps bien masturbée sa moule, pour être prête à recevoir les dix sept centimètres du phallus de Vincent. Ce qui est fait dans l’instant qui suit.
Sans prendre de précaution particulière, la moule de la belle Virginia, avale cet engin qui part dans une nouvelle chevauchée à toute vitesse. Plus les va et vient sont intenses, plus Virginia jouit, soupire et gémit sans complexe.
Pendant tout ce temps, qui lui paraît une éternité, Vanessa se contente de se caresser superficiellement sa petite chatte. La douleur s’estompe peu à peu et, pour finir… !
-
Vincent, est ce que tu pourrais venir t’occuper un peu de moi ?
Tout en continuant de limer la chatte de la belle Virginia lui répond.
-
Ma petite chérie, je viens. Est ce que tu es prête ?
Vanessa.
-
Oui Monsieur, je suis prête.
Vincent.
-
Je viens… !
Ne connaissant pas grand chose aux positions de l’amour, elle s’allonge, exactement, comme tout à l’heure. Le Maître arrive aussitôt, la queue à la main et, se jette littéralement, comme un rapace, sur sa proie. Là, plus de petites préparations particulières. Une bonne poussée, et le gland de la queue de Vincent s’engage entre les grandes lèvres de cette petite moule toute brûlante. Une seconde poussée, cette fois c’est la hampe qui s’engouffre à l’intérieur de la petite moule. Aussitôt, Vanessa se met à soupirer et les va et vient, lents dans un premier temps, s’accélèrent peu à peu. Là, Vanessa commence à prendre goût à la chose et, le fait savoir. Car, la petite chanson que fredonnait Virginia, tout à l’heure, elle aussi, la chante à son tour. Et là… !
Virginia.
-
Alors ma chérie, tu vois que ça n’est pas si monstrueux … !
Vanessa.
-
T’as raison… C’est même très bon !
Vincent.
-
Mais, tu vas voir la suite. Ça va être encore meilleur. Un vrai feu d’artifice… !
Vanessa.
-
C’est quoi le feu d’artifice ?
Vincent.
-
Surprise… Tu verras bien.
Tout en limant encore la foufoune de la jeune fille, il se tourne vers Virginia et lui dit.
-
Virginia vient un peu me sauter dessus.
Virginia.
-
tu veux qu’on fasse la balançoire ?
Vincent.
-
Ou autre chose. C’est comme tu veux ? Je n’ai pas de préférence.. !
Vincent, s’installe et la belle Virginia vient se planter sur le phallus de Maître. Puis les va et vient passent très vite à une vitesse respectable. Ce qui fait que la demoiselle part une nouvelle fois dans une jouissance indéfinissable. Quelques instants après, il demande à Virginia de laisser sa place à Vanessa. La jeune fille enfourche les cuisses du Maître et se laisse glisser sur son pénis. Aussitôt branchée, un peu maladroitement mais sûrement, elle monte et descend le long de cette verge bien raide. Après quelques va et vient, elle recommence à soupirer puis, à gémir copieusement. Pour la seconde fois, voilà la belle Vanessa parti, elle aussi, dans une généreuse satisfaction.
Pour la suite, afin de lui faire découvrir, un peu, les diverses positions qui donnent encore plus de plaisirs, Vincent lui demande de se mettre à quatre pattes. Puis, il se relève du canapé, vient se placer derrière sa partenaire et lui introduit, à nouveau, sa grosse queue. Nouvelle position et, nouvelle sensation. Instantanément, Vanessa se met à jouir comme une vraie petite chienne.
Virginia, pour ne pas être en reste, vient se placer juste à côté de Vanessa, aussi, en position de levrette, et invite Vincent à la prendre aussi. Ce que ce bon Monsieur fait, aussitôt, avec un immense plaisir. Tour à tour, il culbute ses deux partenaires, et les emmène tour à tour dans une euphorie absolue. Ça fait un de ces duo. A les entendre gémir, soupirer et haleter, ça donne encore plus le cœur à l’ouvrage de ce diable de Vincent, qui n’a pas vraiment besoin de ça pour faire jouir d’aussi belles jeunes filles.
Mais, après pratiquement une demie heure d’une telle chevauchée à trois, où Vincent s’est régalé avec ces deux chattes autant excitantes, l’une que l’autre. Le moment fatidique finissant par arriver. L’envie d’éjaculer se précisant, il demande à ses partenaires à se mettre à genoux devant la table de salon. Virginia s’empare du phallus du Maître, le masturbe vigoureusement et le suce copieusement jusqu’à ce qu’une énorme giclée s’en échappe et vienne, une nouvelle fois, lui remplir la bouche et, lui éclabousser le visage. Quand à Vanessa, ne connaissant pas ces pratiques, elle reste là à attendre on ne sait quoi. Mais… !
Virginia.
-
Ma chérie, vient aussi lécher la queue de Vincent. Tu vas voir comme c’est agréable… !
Vanessa.
-
Mais, j’ai jamais fait ça !
Vincent.
-
Comme ça, tu ne pourras plus le dire. Sans rire… vient vite. Virginia, elle, elle va tout avaler.
Virginia s’interrompt et dit comme ça en se léchant ses lèvres de cochonne.
-
Ah, ça c’est sûr. C’est trop délicieux.
Alors timidement, Vanessa se rapproche de la grosses bite encore en érection et plus ou moins adroitement, reproduit ce qu’elle vient de voir. C’est vrai que Virginia, elle, en a beaucoup plus l’habitude. Elle n’est pas à sa première fois… Sa première fois, ça fait déjà bien loin qu’elle s’est passée. Tout de même, elle lèche ce gland sur lequel s’écoule encore quelques gouttes de sperme. Puis.
Virginia.
-
Alors, ma chérie, comment trouves tu ça ?
Vanessa.
-
Ça a un goût un peu bizarre.
Virginia.
-
mais, c’est bon ?
Vanessa.
-
Heu oui… !
Vincent.
-
Maintenant que tu as sauter le pas… Est ce que ça te plaît ?
Vanessa.
-
Oui. Mais, tu sais… tu m’as fait mal quand même. Tu as un pénis bien gros !
Vincent.
-
Mais non ma belle. Juste un peu plus large que la normale. Il y en a de beaucoup plus gros que le mien… !
Vanessa.
-
Le tien, me suffit bien.
Vincent.
-
Maintenant que tu n’es plus vierge, tu es prête à recommencer ?
Vanessa.
-
Avec toi, oui… !
Virginia.
-
Et si on recommençait maintenant ?
Vanessa.
-
Tu sais, je suis épuisée. J’ai pas l’habitude encore… ! Et puis, je ne dois pas rentrer trop tard chez moi.
Vincent.
-
Alors, une autre fois. Tu peux venir quand tu veux. Maintenant que tu sais où j’habite. Je te donne mon numéro, tu m’appelles et on se fera du bien. Comme ça, je te ferai découvrir plein de trucs que tu connais pas !
Vanessa.
-
Oui, d’accord.
Alors, après une visite à la salle de bains, afin de se laver un peu leur minou, les deux demoiselles enfilèrent leurs débardeurs, culottes, strings, jupettes et chaussures puis, Vincent nota sur un petit papier son numéro de téléphone, le donna à Vanessa. Afin de le remercier, Vanessa lui prend par le cou et lui donne un long baiser. Puis.
-
Encore une fois merci, Vincent.
Vincent.
-
Mais ma chérie, tu n’as pas à me remercier. Pour moi, ça a été un immense plaisir de te dépuceler. Tu vois, ce n’est pas si monstrueux que tu te l’imaginais !
Vanessa.
-
Oui je sais. Mais sans toi, et Virginia, je serai toujours à me masturber dans ma chambre le soir… !
Virginia.
-
Comme ça, tu vas avoir un peu d’expérience et, aussi faire plaisir à ton chéri.
Vanessa.
-
C’est vrai. C’est pour ça que j’ai remercié Vincent.
A présent, il est l’heure de quitter le Maître de cérémonie. Elles lui donnent un tendre bisou chacune et, se dirige vers la porte de l’appartement. Puis, descendent l’escalier et quittent l’immeuble.
Une petite demie heure plus tard, les voilà arrivées chez Vanessa. Il est environ minuit. Virginia laisse son amie devant la porte de chez elle, attend que celle-ci soit entrée puis, repart pour rejoindre son chez elle.
Vanessa arrive chez sa petite maman, entre dans l’appartement obscur. Discrètement, elle rejoint sa chambre et, s’allonge sur son lit, en pensant à cette folle soirée où le plaisir a prit le dessus sur la crainte. En somme, ce fut une superbe expérience.
Histoire de Zizoulabellequeue.