Du virtuel au réel (suite)

Résumé : Je continue d’échanger des SMS avec un homme plus âgé que moi de 10 ans, que je n’ai pas revu depuis mon adolescence, et qui m’excite terriblement ! Cette fois-là, nous nous sommes racontés nos fantasmes…

Ce jour là, j’avais passé la journée à penser à lui. Aucune de mes occupations quotidiennes ne m’avait vraiment éloignée de mes pensées coquines. Je l’imaginais couché, près de moi, je sentais ses caresses sur ma peau, son souffle sur mes seins…
N’y tenant plus, j’avais envoyé un premier SMS très anodin. Je savais que je serai seule une bonne partie de la nuit.
C’est le soir après 21 heures qu’il m’avait répondu.
Comme toujours, nos premiers échanges avaient été anodins.
Et comme toujours, il avait commencé à utiliser des doubles sens qui me laissaient perplexes.
Lui : « seule ce soir ? »
Elle : « oui, et une bonne partie de la nuit. Et toi, qu’est ce que tu fais ? »
Lui : « Je suis à l’hôtel. Match de foot à la télé. »
Elle : « Sur quelle chaîne ? Je ne trouve pas »
Lui : « Sur Canal »
Elle : « Alors, normal que je ne trouve pas, j’ai pas. De toute façon, regarder 11 types courir après une seule balle… »
Lui : « Tu préfères un autre type de sport ? De toute façon, ça finit dans 5 minutes. »
Elle : « Je ne savais pas que tu aimais le foot. En fait, je te connaîs peu. Je peux te poser quelques questions un peu perso ?
Lui : « Vas-y. Que veux-tu savoir ? »
Elle : « des trucs un peu bêtes : Par exemple, slip, caleçon ou boxer ? De quel côté tu dors dans un lit ? Qu’est-ce que tu portes pour dormir ?
Lui : « Et bien !
Ca dépend de l’activité, gauche, un tee-shirt et rien en bas. Satisfaite ? »
Elle : « Oui. Pratique, rien en bas. J’aime bien »
Lui : « A mon tour maintenant : mêmes questions »
Elle : « Moi j’aime les shorties, les sous-vêtements noirs, côté droit (c’est parfait, on se complète), pyjamas. Bon, pas très sexy, mais je l’enlève quand il faut… Qu’est ce que tu aimes comme sous vêtements chez une femme ? »
Lui : « J’aime autant les culottes petit Bateau que les strings ou les shorties. Mais ce que je préfère, c’est rien du tout. Je suis obsédé par les fesses !»
Elle : « Le dernier ensemble de sous vêtement que j’ai acheté, je l’ai fait en pensant à toi. Tu veux savoir comment il est ? »
Lui : « Raconte.»
Elle : « Il est noir. Soutien gorge très pigeonnant, boxer avec partie en dentelle et l’autre imprimée de petites fleurs blanches. J’adore ! Une autre question : Que penses-tu des poils ? »
Lui : « Ca m’arrive de ne laisser que quelques millimètres. J’aime bien. Et toi ? »
Elle : « A ton avis ?»
Lui : » Je t’imagine avec un petit triangle bien entretenu »
Elle : « Raté ! »
Lui : « Avec des poils, c’est bien aussi… »
Elle : « Non, tu avais raison ! Je déteste les poils ! Et je n’ai pas grand effort à faire, je suis très peu poilue. Encore une question, très indiscrète. Raconte moi un de tes fantasmes… »
Lui : « C’est très indiscret, ça. Alors…
Un ascenseur. Beaucoup de monde. Tous tournés vers la porte. Je repère une jeune femme blonde très classe, en tailleur, jupe au-dessus du genou. Elle me tourne le dos. Les portes de l’ascenseur se ferment. Quelques étages plus haut, d’autres personnes montent. Elle recule et s’approche de moi. Encore quelques étages et de nouvelles personnes auxquelles il faut faire de la place se serrent pour pénétrer dans l’ascenseur. Elle recule en jetant un coup d’œil, elle me regarde. Puis, elle se colle à moi. Je peux sentir le parfum de ses cheveux. Elle doit sentir la bosse dans mon pantalon. Je suis sur qu’elle s’est collée à moi exprès. Je glisse ma main sous sa jupe. Personne ne peut me voir. Je sens la ficelle de son string entre ses fesses. Discrètement, je descends ma braguette sous ma veste de costume. Dernier arrêt de l’ascenseur et tout le monde descend… Sauf elle et moi. Alors je l’attrape par les épaules et je l’empale sur mon sexe, violemment, sans préambule. »
Elle : « Hummmmm, j’aimerais être blonde dans ton ascenseur ! »
Lui : « A toi, maintenant »
Elle : « C’est la nuit, je suis seule. J’entends mon mari qui rentre du travail. Après quelques mouvements dans la cuisine, il se dirige vers notre chambre.
Je l’entends qui se déshabille et pose ses vêtements sur la chaise. Puis il se couche contre moi. Sa main parcourt ma cuisse. Je trouve cela étrange, je ne le reconnais pas. Ca n’est pas lui ! Je panique : « Qui est là ? » Mon homme me répond, il est au pied du lit, pas dedans, à mes côtés. L’autre homme allongé contre moi, c’est toi.
Mon homme exige de moi un plan à trois.
Il est le chef d’orchestre de mon plaisir.
D’abord, il te demande de me caresser lentement, en te contentant des zones les plus pudiques de mon anatomie. Il observe mes réactions, écoute mes petits gémissements. Parfois sa main vient caresser mon sexe, l’effleurer même, écoutant les variations de rythme de ma respiration.
Puis il ordonne que je m’occupe de lui. Je dois le sucer.
Alors, j’approche ma bouche de son sexe bandé, et je commence à la faire coulisser. C’est étrange, un peu gênant d’être observée par vous deux. Je sens que cela t’excite car tes caresses deviennent plus rapides et tes mains se hasardent à effleurer mes seins. Mais il est bien trop occupé à son plaisir pour s’en rendre compte. Alors, tu t’enhardis et ta main descend vers mon entrejambe.
Je te facilite la tache en me mettant à 4 pattes. Sa queue effectue toujours des vas et viens dans ma bouche et ta main cherche l’entrée de ma grotte humide.
Quand ton doigt y pénètre, je ne peux retenir un gémissement qui me fait lâcher mon ouvrage. Je crois que mon chéri a compris, et pourtant il ne dit rien. Pense-t-il que c’est le prix à payer pour continuer cette magistrale fellation ?
Un deuxième doigt rejoint le premier au cœur de mon intimité. Je sens davantage ta présence en moi. Je me concentre un peu plus pour ne pas lâcher sa bite une seconde fois, accélérant même le rythme afin qu’il ne se rende compte de rien.
Mon chéri doit sentir qu’il va venir car il m’interrompe et me propose de m’occuper de toi.
Je me retourne et commence à déboutonner lentement ton pantalon. Mes mains tremblent un peu, la situation est inédite et me perturbe assez fortement.
Tu m’aides, retirant ton pantalon. Il ne te reste qu’un boxer qui ne cache rien de ta formidable érection. Alors je passe ma main au-dessus de l’élastique et j’empoigne ta bite. Je commence des mouvements très lents.
C’est ce moment que choisit mon chéri pour un premier coup de langue entre mes cuisses.
J’en perds un peu le fil mais très vite, je me souviens de mon souhait le plus ardent : Te prendre dans ma bouche.
Tu ne m’as pas attendu, tu baisses déjà ton sous-vêtement. Voilà ton sexe à l’air, prêt à pénétrer ma bouche. Je m’approche et commence par de petits coups de langues sur le gland. Impatient, tu as mis tes mains dans mes cheveux, déjà prêt à imposer ton rythme. Mais moi, je veux te goûter, te savourer, apprendre à connaître ton odeur.
Mon chéri s’amuse maintenant à me pénétrer à petits coups de langue. Que j’aime ça ! Mais ça me donne envie d’en recevoir beaucoup plus ! Alors je me venge sur ta queue que je prends en bouche profondément. De suite, j’enchaîne d’amples mouvements de coulisse de la base jusqu’au bout de ton gland. Mes mains malaxent tes testicules que je veux connaître aussi bien que le reste de ton sexe.
Je sens que tu contractes les muscles de tes cuisses. Tu te retiens ?
Mon homme se sert maintenant de quelques uns de ses doigts pour me donner du plaisir. Je les sens qui coulissent dans ma chatte dégoulinante de désir, tandis que de sa langue, il torture mon clitoris. J’ignore combien il a pu entrer de doigts en moi…
Tes mains imposent maintenant à ma tête un rythme de plus en plus rapide, m’empêchant parfois de respirer !
Voilà que mon homme décide maintenant d’aller explorer une autre ouverture de mon anatomie, plus sombre et plus étroite ! Sa langue y pénètre tout en douceur…
De ton côté, l’action de mes lèvres qui enserrent ton sexe, le mouvement de plus en plus rapide de coulisse, ont l’effet escompté. J’entends à ta respiration, à tes petits grognements que ta délivrance n’est pas loin. Mais il n’en est pas question ! Et je m’arrête net, profitant de l’insertion d’un doigt dans mon anus pour imposer une pause.
Voilà que je vois mon chéri qui te tend quelque chose. C’est un préservatif.
J’entends la déchirure de l’emballage. Puis tu te débrouilles seul pour l’installation. Tant mieux, je manque vraiment d’expérience.
Voilà que Chéri m’ordonne de m’allonger sur toi ! Attend-t’il de moi que je m’empale sur ta bite ? Alors je m’allonge et c’est toi qui dirige ton sexe vers le mien.
Tu me pénètres pour la première fois. Quelle sensation étrange !
A la fois chaude et humide. Mais c’est le contact de ta peau sur la mienne qui me fait finalement le plus d’effet. Sentir mes seins, mon ventre contre les tiens me donne la chair de poule.
Je sens le poids de mon chéri qui s’installe derrière nous.
Son gland tente de forcer l’entrée de mon cul ; j’ignore s’il va y arriver, je me sens déjà tellement pleine de toi.
Il s’acharne et finit par faire pénétrer son gland puis, progressivement son sexe entier. Je me sens littéralement dilatée et pleine de mes deux orifices. Alors, il commence des mouvements de va-et-vient, et bien que tu sois prisonnier sous ma corps, ton sexe fait également de petits mouvements en moi.
Je ressens une jouissance immense d’être ainsi prise entre vous deux. Il me semble que je surfe en haut de la vague sans jamais en descendre.
La situation est tellement excitante que l’un après l’autre, vous éjaculez.
D’abord lui, après s’être retiré en m’arrosant copieusement le dos de son sperme.
Puis toi, après quelques mouvements de bassin, grâce à ta mobilité retrouvée.
Nous voilà tous les trois repus de sexe. »

Lui : « Ouah ! beau fantasme ! »
Elle : « Le plus beau d’entre tous ! »

Proposée par carol la grande

Laisser un commentaire