Une coupe du monde d’initiation

Résumé: Après des années d’attente, je suis enfin devenue l’esclave sexuelle de mon mari, mais pas que…

Bonjour, je suis Laura, 35 ans, mariée à mon Maître, nous sommes les parents de trois petites filles. Depuis des années, je désirais que mon mari m’humilie et me traite en esclave sexuelle sans tenir compte de ce que je ressentais. Je faisais souvent le ménage en tenue de soubrette, je portais aussi régulièrement un plug anal même lorsque nous recevions, bien entendu tout ça caché du public.

Ma situation a évolué le 15 juillet 2018 pour la coupe du monde. Mon mari m’a fait mettre ma robe de soubrette le matin pour faire le ménage, les filles étaient en vacances chez « mamie et papy ».
Maître m’a dit de tout bien nettoyer car il recevait ses amis pour voir le match (chose habituelle). Maître m’a dit que je recevrai ses amis dans cette tenue et que je devrai leur servir de pute et les soulager; j’étais abasourdie et tentais de protester (même si c’était un vieux fantasme secret, là, j’étais prise de court). Une gifle cuisante (la première, à part pour celles des fessées « préliminaires »), Maître m’a dit que ça serait ma première et dernière chance de devenir l’esclave que j’avais toujours voulu être. Il m’a ensuite dit d’aller nettoyer la cuisine pour réfléchir et de revenir pour le supplier de servir ses amis avec mon cul et ma bouche.
-Adepte de fellation et de sodomie, je revins donc un moment après auprès de mon Seigneur et Maître (j’ai mis plus de temps à trouver un moyen de cacher mon excitation que pour trouver la bonne formule): « Mâitre, je vous supplie de bien vouloir laisser votre esclave servir de vide couilles à vous et à vos amis, je ne suis qu’une pute (Maître aime bien m’appeler comme ça pendant nos jeux) née pour satisfaire les mâles ». « Es-tu sûre que c’est ce que tu veux? ». « oui, Maître, je vous en supplie ».
Maître a eu un ricanement et m’a renvoyée à mes tâches domestiques.

Nous avons déjeuné tous les deux en silence, puis en début d’après midi, quelqu’un a sonné. Je suis allée ouvrir comme je devais le faire, puis Maître m’a dit « tu dois accueillir les invités comme tu le fais avec moi ». Prise de court je me suis agenouillée et ai embrassé les chaussures de l’homme. « Cette esclave vous souhaite la bienvenue Monsieur ». « Et bien, Chris (mon Maître), tu as une petite pute bien dressée » (c’est là que j’ai compris que cette journée avait été prévue à l’avance et que les amis de Maître (et aussi les miens) n’hésiteraient pas à m’humilier. Deux autres hommes sont arrivés tour à tour, et j’ai dû répéter le cérémonial sous les ricanement et les humiliations. Les trois hommes sont allés s’installer dans le canapé, Maître a dit « trois cafés ». Je suis allée chercher les cafés que j’ai posée sur la table bass, tournant le dos aux hommes, puis je me suis penchée sans plier les genoux pour révéler le dessous de la robe (chose que je fais tout le temps avec Maître). J’ai entendu la voix de G. dire « et cette salope n’a pas de culotte ». J’étais mortifiée puis j’ai entendu P. « en tous cas, elle n’est pas génée, elle suinte ». Tous ont rigolé.
Je suis partie dans la cuisine, je ne savais pas si j’allais avoir la force de continuer, je pleurais. Au bout d’un moment, Maître est venu me voir. Il m’a prise tendrement dans ses bras et m’a dit que si je voulais tout arrêter là, que j’en avais le droit et qu’on n’en reparlerait plus, il s’est excusé (j’ai senti de la sincérité). Je me suis reprise et ai dit « si je suis dans cette situation, c’est parce que j’ai insisté pour la vivre, et je t’ai aussi demandé de ne pas tenir compte de mes sentiments. Et ce que tu me propose aujourd’hui est un fantasme que j’ai depuis longtemps, mais que je n’ai avoué à personne ».
-« Dans ce cas, retournes dans le salon et excuses toi auprès de mes invités » (en me prenant par la taille et m’embrassant dans le cou) ». Je me suis excusée auprès des hommes puis ai pris ma position d’attente à côté de la télé. A genoux, cuisses écartées, robe relevée sur le haut des cuisses, chatte découverte, bustier baissé avec les seins dehors, bouche entrouverte et mains sur la tête avec les yeux baissés.
-Un des hommes a dit : « Chris, si tu veux qu’on la pardonne, je propose que la première passe soit gratuite pour chacun » « ? (passe ?) » « Oui, les gars, c’est d’accord, en plus elle m’a mis la honte, elle me doit bien ça ».
J’ai alors passée tout le match et la soirée à sucer et me faire enculer, la corbeille se remplissant de pièces de un Euro (prix de la « passe »). Quand ils sont partis, le soir, j’avais le cul en feu ainsi que la gorge. Quand nous nous sommes couchés (après une bonne douche), Maître à court de munitions m’a fait un cunni de l’enfer, et j’ai pris un énorme pied.
-A quand la prochaine ?…

Récit de EsclaveLaura

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